Schweiz
Deutsche Tram-Kontrollen in der Schweiz
Von Cemil Baysal
Deutsche Tram-Kontrollen in der Schweiz: Unfall und Politische Reaktionen
Frage: Warum wurden die Kontrollen verschärft?
Deutschland hat beschlossen, die Straßenbahnen aus der Schweiz nahezu vollständig zu kontrollieren, um illegale Einwanderung zu verhindern und gegen Schleuser vorzugehen. Diese Maßnahme wurde Mitte Oktober getroffen.
Frage: Warum werden sie so streng kontrolliert?
Die deutsche Bundespolizei überprüft besonders jede Straßenbahn der Linie 8, die aus der Schweiz kommt. Das bedeutet, dass etwa alle 8 Minuten eine nach Norden fahrende Straßenbahn überprüft wird.
Frage: Welche Auswirkungen hatten die Kontrollen und wie lange dauern sie noch an?
Die deutsche Innenministerin Nancy Faeser behauptet, dass die Kontrollen erfolgreich waren. Seit Mitte Oktober wurden 340 verdächtige Schleuser festgenommen, und die illegalen Einreisen sind im November im Vergleich zum Vormonat um fünfzig Prozent gesunken. Aufgrund dessen hat Faeser beschlossen, die Kontrollen bis Mitte März zu verlängern.
Frage: Warum sorgen diese Kontrollen für Diskussionen?
Die ehemalige Justizministerin der Schweiz, Elisabeth Baume-Schneider, hat vergeblich versucht, die deutschen Kontrollen zu stoppen. Baume-Schneider ist der Meinung, dass die Kontrollen nur eine vorübergehende Lösung sind und dass illegale Einwanderung effektiver durch grenzüberschreitende polizeiliche Zusammenarbeit und eine Stärkung der Außengrenzen der EU verhindert werden kann.
Ereignis: Was ist bei dem Unfall passiert, wer hat sein Leben verloren?
Ein schwerer Unfall in Bayern weist auf ein Ereignis hin, bei dem ein Menschenschmuggler, der vor der Polizei flüchtete, mit einem Mercedes-Van, der mit 180 km/h fuhr, einen Unfall verursachte. Bei dem Unfall kamen 7 der 22 Insassen ums Leben, die syrische und türkische Staatsbürger waren.
Frage: Welche politischen Auswirkungen hatte dieses Ereignis?
Die AfD und die Union haben schon lange die Wiedereinführung von Grenzkontrollen gefordert. Als Reaktion darauf hat Faeser die strengen Straßenbahnkontrollen wiederaufgenommen und dies als «Wir handeln» kommentiert.
Frage: Wie hat die Schweiz reagiert?
Die Schweiz hat auf die strengen Straßenbahnkontrollen Deutschlands reagiert, indem sie im Rahmen eines gemeinsamen Aktionsplans die Anzahl der gemeinsamen Patrouillen an der Grenze erhöht hat. Deutschland bleibt jedoch darauf bestehen, dass diese Kontrollen bis Mitte März fortgesetzt werden.
Innerpolitische Reaktionen in der Schweiz
In der Schweiz gab es verschiedene Reaktionen auf die strengen Straßenbahnkontrollen Deutschlands. Insbesondere die SVP (Schweizerische Volkspartei) hat die Wiedereinführung der Grenzkontrollen gefordert. Die Weigerung des Bundesrates, diesen Schritt zu unternehmen, hat zu einer politischen Debatte im Land geführt. Es bleibt abzuwarten, welche Haltung Justizminister Beat Jans zu diesem Thema einnehmen wird und welche Rolle er in den Verhandlungen mit Deutschland spielen wird. Die vergeblichen Bemühungen von Elisabeth Baume-Schneider, die deutschen Grenzkontrollen zu stoppen, haben zu einer diplomatischen Spannung zwischen den beiden Ländern geführt.
Besonderheit: Basel Badischer Bahnhof
Nach eigenen Angaben hat die Bundespolizei im Oktober dieses Jahres 1.521 unerlaubte Einreisen in die Bundesrepublik Deutschland bereits auf Schweizer Boden verhindert. Diese Daten basierten auf einem Sondermeldedienst der Bundespolizei und seien nicht qualitätsgesichert.
Die Bundespolizei kontrolliert weiter auf Schweizer Gebiet beispielsweise in Fernzügen zwischen den Bahnhöfen Basel SBB und Basel Badischer Bahnhof. Grundlage dafür ist ein Abkommen mit der Schweiz, das es schon länger gibt. Wer hier keine gültigen Papiere vorweisen kann, darf nicht nach Deutschland weiterreisen. Weiter hieß es, diese Personen würden wegen versuchter unerlaubter Einreise strafrechtlich aber nicht verfolgt.
France : Contrôles Renforcés sur les Tramways en Provenance de Suisse : Accident et Réactions Politiques
Question : Pourquoi les contrôles ont-ils été renforcés ?
L’Allemagne a décidé de contrôler presque systématiquement les tramways en provenance de Suisse afin de prévenir l’immigration illégale et de lutter contre le trafic d’êtres humains. Cette décision a été prise à la mi-octobre.
Question : Pourquoi ces contrôles sont-ils aussi stricts ?
La police fédérale allemande contrôle particulièrement chaque tramway de la ligne 8 en provenance de Suisse. Cela signifie qu’un tramway se dirigeant vers le nord toutes les 8 minutes est soumis à un contrôle.
Question : Quels ont été les impacts des contrôles et combien de temps vont-ils durer ?
La ministre allemande de l’Intérieur, Nancy Faeser, affirme que les contrôles ont été un succès, précisant que 340 passeurs suspects ont été arrêtés depuis la mi-octobre et que les entrées illégales ont diminué de 50 % par rapport au mois précédent. En raison de ces résultats, Faeser a décidé de prolonger les contrôles jusqu’à la mi-mars.
Question : Pourquoi ces contrôles suscitent-ils la controverse ?
L’ancienne ministre suisse de la Justice, Elisabeth Baume-Schneider, a vainement plaidé auprès de la ministre allemande de l’Intérieur, Faeser, pour mettre fin à ces contrôles. Baume-Schneider estime que les contrôles ne sont qu’une solution temporaire et que l’immigration illégale peut être mieux prévenue par une coopération policière transfrontalière et le renforcement des frontières extérieures de l’UE.
Événement : Qu’est-ce que l’accident et qui a perdu la vie ?
Un grave accident en Bavière, en Allemagne, met en lumière un incident qui a entraîné de lourdes pertes pour les partis au pouvoir lors des élections régionales d’octobre. Un passeur, fuyant la police, a provoqué un accident avec un van Mercedes roulant à 180 km/h. Sept des 22 personnes à bord, des réfugiés syriens et turcs, ont perdu la vie.
Question : Quelles ont été les répercussions politiques de cet incident ?
Les partis politiques AfD et Union ont longtemps appelé au rétablissement des contrôles aux frontières. En réponse à cette demande, Faeser a rétabli les contrôles stricts sur les tramways et a qualifié l’incident de «Nous sommes en action».
Question : Quelle a été la réaction de la Suisse ?
En réaction aux contrôles stricts sur les tramways allemands, la Suisse a augmenté le nombre de patrouilles conjointes à la frontière dans le cadre d’un plan d’action commun. Cependant, l’Allemagne persiste à maintenir ces contrôles jusqu’à la mi-mars.
Réactions Politiques en Suisse
En Suisse, diverses réactions politiques ont émergé face aux contrôles stricts des tramways allemands. En particulier, le Parti populaire suisse (SVP) demande le rétablissement des contrôles aux frontières, ce qui a suscité un débat politique en raison du refus du Conseil fédéral de prendre cette mesure. La manière dont le nouveau ministre de la Justice, Beat Jans, abordera cette question et le rôle qu’il jouera dans les négociations avec l’Allemagne suscitent également la curiosité. Les efforts infructueux de la conseillère fédérale suisse Elisabeth Baume-Schneider pour mettre fin aux contrôles frontaliers allemands ont créé une tension diplomatique entre les deux pays.
Particularité : Gare de Bâle Badischer Bahnhof
Selon un rapport spécial de la police fédérale en octobre, 1 521 personnes ont empêché une entrée non autorisée en Allemagne depuis le territoire suisse. Ces données sont basées sur un service spécial de signalement de la police fédérale et ne sont pas encore vérifiées qualitativement.
La police fédérale continue de procéder à des contrôles sur le territoire suisse, notamment dans les trains longue distance entre les gares de Bâle SBB et de Bâle Badischer Bahnhof. Cela découle d’un accord existant depuis longtemps avec la Suisse. Les personnes ne pouvant pas présenter les documents nécessaires dans cette région ne sont pas autorisées à voyager en Allemagne. De plus, il est précisé qu’il n’y a pas de poursuites pénales à l’encontre de ces personnes en raison de leur tentative d’entrée non autorisée.
Italian : Rigidi Controlli sui Tram provenienti dalla Svizzera – Incidente e Reazioni Politiche
Domanda: Perché sono stati intensificati i controlli?
La Germania ha deciso di controllare quasi tutti i tram provenienti dalla Svizzera al fine di prevenire l’immigrazione illegale e combattere il traffico di esseri umani. Questa decisione è stata presa a metà ottobre.
Domanda: Perché i controlli sono così rigorosi?
La polizia federale tedesca controlla in particolare ogni tram della linea 8 proveniente dalla Svizzera. Ciò significa che ogni tram in movimento verso nord ogni 8 minuti è sottoposto a un controllo.
Domanda: Quali sono stati gli effetti dei controlli e quanto tempo dureranno?
Il Ministro degli Interni tedesco, Nancy Faeser, afferma che i controlli sono stati un successo, dichiarando che dal medio ottobre sono stati arrestati 340 trafficanti sospetti e che le entrate illegali sono diminuite del 50% rispetto al mese precedente. A causa di questi risultati, Faeser ha deciso di estendere i controlli fino a metà marzo.
Domanda: Perché questi controlli suscitano controversie?
L’ex Ministro della Giustizia svizzero, Elisabeth Baume-Schneider, ha invano supplicato la Ministra degli Interni tedesca, Faeser, di fermare questi controlli. Baume-Schneider ritiene che i controlli siano solo una soluzione temporanea e che l’immigrazione illegale possa essere meglio prevenuta mediante una cooperazione transfrontaliera della polizia e il rafforzamento delle frontiere esterne dell’UE.
Evento: Che incidente è avvenuto e chi ha perso la vita?
Un grave incidente in Baviera, in Germania, evidenzia un incidente che ha causato gravi perdite per i partiti al potere nelle elezioni regionali di ottobre. Un trafficante, fuggendo dalla polizia, ha causato un incidente con un furgone Mercedes che viaggiava a 180 km/h. Sette delle 22 persone a bordo, rifugiati siriani e turchi, hanno perso la vita.
Domanda: Quali sono state le ripercussioni politiche di questo incidente?
I partiti politici AfD e Union hanno a lungo chiesto il ripristino dei controlli alle frontiere. In risposta a questa richiesta, Faeser ha ripristinato i rigorosi controlli sui tram e ha definito l’incidente «Siamo in azione».
Domanda: Qual è stata la reazione della Svizzera?
In risposta ai rigidi controlli sui tram tedeschi, la Svizzera ha aumentato il numero di pattuglie congiunte al confine nell’ambito di un piano d’azione comune. Tuttavia, la Germania insiste nel mantenere questi controlli fino a metà marzo.
Reazioni Politiche in Svizzera
In Svizzera, diverse reazioni politiche sono emerse riguardo ai rigidi controlli sui tram tedeschi. In particolare, il Partito Popolare Svizzero (SVP) chiede il ripristino dei controlli alle frontiere, suscitando un dibattito politico a causa del rifiuto del Consiglio federale di adottare questa misura. Come il nuovo Ministro della Giustizia, Beat Jans, affronterà questa questione e quale ruolo assumerà nei negoziati con la Germania è anche oggetto di curiosità. Gli sforzi infruttuosi della Consigliera federale svizzera Elisabeth Baume-Schneider per porre fine ai controlli alle frontiere tedeschi hanno creato tensioni diplomatiche tra i due paesi.
Particolarità: Stazione ferroviaria di Basilea Badischer Bahnhof
Secondo una relazione speciale della polizia federale a ottobre, 1.521 persone hanno impedito un’entrata non autorizzata in Germania dal territorio svizzero. Questi dati si basano su un servizio speciale di segnalazione della polizia federale e non sono ancora stati verificati qualitativamente.
La polizia federale continua a effettuare controlli sul territorio svizzero, ad esempio sui treni a lunga percorrenza tra le stazioni di Basilea SBB e Basilea Badischer Bahnhof. Ciò deriva da un accordo esistente da tempo con la Svizzera. Le persone che non possono presentare i documenti necessari in questa regione non sono autorizzate a viaggiare in Germania. Inoltre, si specifica che non ci sono perseguimenti penali per queste persone a causa del loro tentativo di entrare illegalmente.
Interviews
WICHTIGE DETAILS ZUM EINBÜRGERUNGSPROZESS IM KANTON ST. GALLEN
EXKLUSIVES INTERVIEW: Cemil Baysal
Die aktuellsten und genauesten Informationen zum Einbürgerungsprozess in der Schweiz bieten wir Ihnen durch direkte Gespräche mit den zuständigen kantonalen Behörden. In einem exklusiven Interview mit dem Bürgerrechtsamt des Kantons St. Gallen haben wir die meistgestellten Fragen gestellt und ausführliche Antworten erhalten. Hier sind die wichtigsten Details, die das Bürgerrechtsamt des Kantons St. Gallen für die Leserinnen und Leser von „Swissperspektive“ bereitgestellt hat:
Wohnsitzanforderungen in der Schweiz und im Kanton St. Gallen
Frage: Ist es korrekt, dass eine Person mindestens 10 Jahre in der Schweiz und davon mindestens 5 Jahre im Kanton St. Gallen gelebt haben muss, um einen Einbürgerungsantrag stellen zu können?
Antwort: Ja, das ist richtig. Für eine Einbürgerung ist ein Wohnsitz von mindestens 10 Jahren in der Schweiz erforderlich, davon müssen mindestens 5 Jahre im Kanton St. Gallen verbracht worden sein.
Erfordernis der Aufenthaltsbewilligung C
Frage: Ist eine Aufenthaltsbewilligung C Voraussetzung für die Einbürgerung? Reicht eine Bewilligung B nicht aus?
Antwort: Für die Einbürgerung ist die Aufenthaltsbewilligung C zwingend erforderlich. Eine Bewilligung B erfüllt diese Bedingung nicht. Diese Vorschrift ist in Artikel 9 des Schweizer Bürgerrechtsgesetzes (BüG) und Artikel 9 des St. Galler Bürgerrechtsgesetzes (BRG) festgelegt.
Sprachkenntnisse und Integrationsanforderungen
Frage: Wie in anderen Kantonen sind auch im Kanton St. Gallen Sprachkenntnisse und soziale Integration Voraussetzungen. Gibt es darüber hinaus spezifische Anforderungen in diesem Kanton?
Antwort: Die Integrationskriterien sind in den folgenden gesetzlichen Bestimmungen festgelegt:
- Artikel 12 des Schweizer Bürgerrechtsgesetzes (BüG) sowie Artikel 2 ff. der Verordnung über das Schweizer Bürgerrecht (SR 141.01; kurz BüV).
- Artikel 12 des St. Galler Bürgerrechtsgesetzes (BRG) sowie Artikel 2 der Verordnung über das St. Galler Bürgerrecht (sGS 121.11; kurz BRV).
Gebühren für Einbürgerungsanträge
Frage: Wie hoch sind die Gebühren für Einbürgerungsanträge, sowohl für Einzelpersonen als auch für Familien?
Antwort: Im Rahmen des Einbürgerungsverfahrens fallen Gebühren auf Gemeinde-, Kantons- und Bundesebene an. Diese sind wie folgt geregelt:
Gebührentarif für die Kantons- und Gemeindeverwaltung (sGS 821.5; kurz GebT):
- Erteilung des Kantonsbürgerrechts:
- Ziffer 22.02: 100 bis 2’000 Franken.
- Erteilung des Gemeindebürgerrechts im allgemeinen Verfahren (Art. 7 ff. BRG):
- Ziffer 50.00.03: Ausländerinnen und Ausländer (Einzelpersonen, inklusive unmündige Kinder): 100 bis 1’800 Franken.
- Ziffer 50.00.04: Ausländerinnen und Ausländer (verheiratete Paare und eingetragene Partner, inklusive unmündige Kinder): 100 bis 2’500 Franken.
- Erteilung des Gemeindebürgerrechts im besonderen Verfahren (Art. 36 ff. BRG):
- Ziffer 50.00.06: Ausländische und staatenlose Jugendliche (pro Antrag): 100 bis 1’400 Franken.
Die Gebühren werden nach dem Kostendeckungsprinzip erhoben.
Bundesebene – Erteilung der Einbürgerungsbewilligung (Art. 25 BüV):
- Volljährige Personen: 100 Franken.
- Ehepaare, die gemeinsam einen Antrag stellen: 150 Franken.
- Minderjährige Personen: 50 Franken.
Fazit
Der Einbürgerungsprozess im Kanton St. Gallen ist durch klare und umfassende Regelungen definiert. Antragstellende müssen neben den notwendigen Unterlagen auch Anforderungen wie Sprachkenntnisse, soziale Integration und eine gültige Aufenthaltsbewilligung erfüllen.
Für weiterführende Informationen empfehlen wir, die Dokumente des Schweizer Bürgerrechtsgesetzes (BüG) sowie des St. Galler Bürgerrechtsgesetzes (BRG) zu konsultieren.
Bürgerrecht-Website des Kantons St. Gallen: Link
Allgemein
FRAGEN UND ANTWORTEN ZUM EINBÜRGERUNGSGESUCH IM KANTON ZÜRICH
Interview: Cemil Baysal
Im Kanton Zürich gibt es zahlreiche Fragen zur Einbürgerung, und deshalb haben wir uns direkt an die zuständige Stelle im Kanton Zürich gewandt, um detaillierte Informationen zu erhalten. Hier sind die Antworten auf einige der häufigsten Fragen zum Thema Schweizer Staatsbürgerschaft.
Frage : Gibt es einen Unterschied zwischen der ordentlichen und der erleichterten Einbürgerung?
Antwort von Kanton Zürich: Ja, es gibt einen Unterschied. Die erleichterte Einbürgerung ist nur für bestimmte Personengruppen möglich, wie zum Beispiel für Eheleute von Schweizerinnen und Schweizern, die bereits zum Zeitpunkt der Hochzeit das Schweizer Bürgerrecht besaßen. Diese Einbürgerung erfolgt über das Staatssekretariat für Migration (SEM) in Bern. Wir vom Gemeindeamt sind für die ordentlichen Einbürgerungen im Kanton Zürich zuständig. Alle weiteren Antworten beziehen sich auf den ordentlichen Einbürgerungsprozess.
Frage: Wie lange muss man in der Schweiz leben, um einen Antrag auf ordentliche Einbürgerung stellen zu können?
Antwort von Kanton Zürich: Eine Person muss grundsätzlich 10 Jahre in der Schweiz gewohnt haben, um einen Antrag auf ordentliche Einbürgerung zu stellen. Diese 10 Jahre müssen jedoch nicht am Stück sein. Es zählen auch frühere Aufenthalte. Wichtig ist, dass mindestens 3 der letzten 5 Jahre vor der Antragstellung in der Schweiz verbracht wurden.
Frage: Zählt jeder Aufenthalt in der Schweiz für diese 10 Jahre?
Antwort von Kanton Zürich: Nicht jeder Aufenthalt zählt gleich. Für die Berechnung der Aufenthaltsdauer kommt es auf die Aufenthaltsbewilligung an. Aufenthalte mit einer B- oder C-Bewilligung werden vollständig berücksichtigt, Aufenthalte mit einer F-Bewilligung nur zur Hälfte, und Aufenthalte mit einer L- oder N-Bewilligung zählen gar nicht.
Frage: Wie wird der Aufenthalt für Kinder zwischen 8 und 18 Jahren berücksichtigt?
Antwort von Kanton Zürich: Für Kinder zwischen 8 und 18 Jahren wird die Aufenthaltsdauer doppelt gezählt, was bedeutet, dass sie bereits früher einen Antrag stellen können.
Frage: Können Kinder zusammen mit ihren Eltern eingebürgert werden?
Antwort von Kanton Zürich: Ja, Kinder können sich zusammen mit einem Elternteil einbürgern lassen, wenn sie mit diesem zusammenwohnen und der Elternteil das Kind zu etwa 50% betreut. Es ist nicht erforderlich, dass das Kind an der gleichen Adresse gemeldet ist. In diesem Fall muss das Kind die 10 Jahre nicht selbst erfüllen, und es braucht keine C-Bewilligung. Wenn sich ein Kind jedoch alleine einbürgern lässt, muss es die 10 Jahre selbst erfüllen und eine C-Bewilligung haben. Zudem müssen bei Kindern unter 18 Jahren alle sorgeberechtigten Personen der Einbürgerung zustimmen.
Frage: Wie lange muss man im Kanton Zürich wohnen, um die Staatsbürgerschaft zu beantragen?
Antwort von Kanton Zürich: Eine Person muss mindestens 2 Jahre in der gleichen Gemeinde im Kanton Zürich wohnen, wobei diese 2 Jahre unmittelbar vor der Antragstellung liegen müssen. Frühere Aufenthalte in derselben Gemeinde zählen nicht. Für Personen unter 25 Jahren reicht es, wenn sie 2 Jahre im Kanton Zürich gewohnt haben, unabhängig davon, in welcher Gemeinde.
Frage: Kann jemand ohne eine C-Bewilligung einen Antrag auf Staatsbürgerschaft stellen?
Antwort von Kanton Zürich: Nein, eine ordentliche Einbürgerung ist nur mit einer C-Bewilligung möglich. Eine B-Bewilligung reicht nicht aus, es sei denn, das Kind wird gemeinsam mit einem Elternteil eingebürgert.
Frage: Welche Gebühren fallen für die Einbürgerung an?
Antwort von Kanton Zürich: Für eine ordentliche Einbürgerung fallen 3 Gebühren an: eine Gebühr für die Gemeinde, eine Gebühr für den Kanton und eine Gebühr für das Staatssekretariat für Migration (SEM). Die Höhe der Gemeindegebühr variiert je nach Gemeinde. Generell gilt jedoch:
- Personen unter 20 Jahren zahlen keine Gebühr.
- Personen unter 25 Jahren zahlen nur die Hälfte der Gebühr.
- Die Gebühr des Kantons beträgt 500 CHF pro Person, wobei Personen unter 25 Jahren nur 250 CHF zahlen. Personen unter 20 Jahren müssen auch beim Kanton keine Gebühr zahlen.
- Beim Bund beträgt die Gebühr 100 CHF für eine ordentliche Einbürgerung. Ehepaare zahlen insgesamt 150 CHF, und Personen unter 18 Jahren zahlen 50 CHF.
Frage: Gibt es eine Sprachvoraussetzung für die Einbürgerung?
Antwort von Kanton Zürich: Ja, für die Einbürgerung im Kanton Zürich müssen Antragsteller ausreichende Deutschkenntnisse nachweisen (A2 schriftlich und B1 mündlich gemäß dem Gemeinsamen Europäischen Referenzrahmen). Ein offizielles Sprachzertifikat muss in der Regel eingereicht werden, es sei denn:
- Die Person hat Deutsch als Muttersprache.
- Die Person hat mindestens 5 Jahre lang die obligatorische Schule in der Schweiz mit deutscher Unterrichtssprache besucht.
- Die Person hat eine Ausbildung auf Sekundarstufe II (Lehre, Gymnasium) oder Tertiärstufe (Bachelor, Master) in deutscher Sprache abgeschlossen.
Außerdem müssen Antragsteller Kenntnisse über die Geografie, Geschichte sowie die politischen und gesellschaftlichen Verhältnisse der Schweiz und des Kantons Zürich nachweisen, meist durch einen Grundkenntnistest. Personen, die mindestens 5 Jahre in der Schweiz die obligatorische Schule besucht haben oder eine Ausbildung auf Sekundarstufe II abgeschlossen haben, müssen diesen Test nicht ablegen.
Sie finden Informationen zum Grundkenntnistest auf unserer Website: https://www.zh.ch/de/migration-integration/einbuergerung/grundkenntnistest.html. Sie finden dort einen Übungstest und alle Fragen, die am Grundkenntnistest vorkommen können. Es gibt auch eine Broschüre, mit der eine Person für den Test üben kann.
Frage: Wie kann man den Antrag auf Einbürgerung stellen?
Antwort von Kanton Zürich: Der Antrag auf Einbürgerung kann über unser Online-Tool eingereicht werden: naturalization.services.zh.ch. Es müssen nur zwei Dokumente eingereicht werden:
- Ein aktueller Auszug aus dem Schweizerischen Zivilstandsregister.
- Ein Nachweis über die aktuelle Tätigkeit (z.B. eine Arbeitgeberbescheinigung, Schulbestätigung oder ein Vermögensnachweis).
Vor der Antragstellung muss sich die Person im Schweizerischen Zivilstandsregister eintragen lassen, was durch ein Gesuch beim Zivilstandsamt des Wohnorts erfolgt. Erst nach der Eintragung kann der Antrag auf Einbürgerung gestellt werden.
Schweiz
Werbejingles und Ihr Einfluss auf Kaufentscheidungen
Werbejingles sind weit mehr als nur unterhaltsame Melodien – sie prägen das Konsumverhalten und bleiben oft tief in unseren Erinnerungen verankert. Eine Umfrage zeigt, dass 45 % der Briten noch immer Jingles aus ihrer Kindheit mitsingen können. Dies hat die Musikpsychologin Kelly Jakubowski von der Durham University untersucht.
Ein eingängiger Jingle kann Marken langfristig im Gedächtnis verankern. Beliebte Jingles verwenden oft nostalgische Melodien, wie der „Go Compare“-Jingle, der auf dem traditionellen Lied „Over There“ basiert. Diese emotionalen Verbindungen beeinflussen das Kaufverhalten erheblich.
Jingles, die ein flottes Tempo haben, werden zu Ohrwürmern und bleiben im Gedächtnis. Sie wecken Erinnerungen und verstärken die emotionale Bindung zur Marke. Moderne Marken nutzen nostalgische Jingles, um jüngere Zielgruppen anzusprechen, wie Maybelline, das seinen Jingle neu interpretiert hat, um die Generation Z zu erreichen.
Fazit: Einprägsame Jingles haben einen messbaren Einfluss auf Kaufentscheidungen und sollten in Marketingstrategien berücksichtigt werden.
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