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Schweiz

Selbst eine 20-Rappen-Banane in Rechnung gestellt

Obwohl die Mitglieder der Regierung des Kantons Bern ein Jahresgehalt von rund 280.000 Franken und monatlich fast 22.000 Schweizer Franken beziehen, neigen sie dazu, kleine Beträge abzurechnen. Die Untersuchungen von SRF Kassensturz haben aufgedeckt, dass Philippe Müller, der Direktor für Sicherheit, seit 2018 im Amt ist und bisher mehr als 1,3 Millionen Franken verdient hat. Zusätzlich zu seinem Gehalt erhält er eine Pauschale von 8000 Franken pro Jahr für zusätzliche Ausgaben.

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Enthüllung durch SRF Kassensturz: Regierungsmitglieder des Kantons Bern rechnen kleinste Beträge ab

BERN – Cemil Baysal / Obwohl die Mitglieder der Regierung des Kantons Bern ein Jahresgehalt von rund 280.000 Franken und monatlich fast 22.000 Schweizer Franken beziehen, neigen sie dazu, kleine Beträge abzurechnen. Die Untersuchungen von SRF Kassensturz haben aufgedeckt, dass Philippe Müller, der Direktor für Sicherheit, seit 2018 im Amt ist und bisher mehr als 1,3 Millionen Franken verdient hat. Zusätzlich zu seinem Gehalt erhält er eine Pauschale von 8000 Franken pro Jahr für zusätzliche Ausgaben.

Verdächtige Essensausgaben:

Die Regierungsmitglieder laden Gäste aus Wirtschaft und Politik zu Konferenzen ein und rechnen gelegentlich kleinste Beträge ab, wie zum Beispiel 95 Rappen für ein Bio-Mehrkornbrötchen oder 20 Rappen für eine Banane, die als «Essensausgaben» im Namen des Kantons Bern verbucht werden. SRF Kassensturz hat auch aufgedeckt, dass Philippe Müller für «Laugenbretzeli mit Butter» (Laugenbrezel mit Butter) 3,20 Franken abgerechnet hat und dies als Kosten für eine kurze Pause dokumentiert hat.

Kritik an den Ausgaben:

Daniel Wyrsch, Mitglied des Berner Staatspersonalverbands und der SP, kritisiert die Abrechnung solcher kleiner Beträge: «Bei einem Jahresbruttoeinkommen von knapp 280.000 Franken finde ich das sehr kleinlich und peinlich. Kantonsmitarbeitende können das nicht abrechnen. Jeder nimmt sein Mittagessen selbst mit.» Der Professor für Public Management an der Universität St. Gallen, Kuno Schedler, findet solche kleinen Ausgaben fragwürdig und stellt die Frage: «Wenn jemand 20 Rappen ausreizt, was reizt er sonst noch aus?» Sicherheitsdirektor Philippe Müller äußert sich nicht zu seinen Ausgaben.

Anfrage nach Privatsphäre und Ergebnis:

«Kassensturz» hat mit Verweis auf das im Kanton Bern verankerte verfassungsmäßige Transparenzprinzip Einsicht in die Ausgabenbelege der Regierungsmitglieder des Kantons Bern von 2018 bis 2021 gefordert. Die Staatskanzlei des Kantons Bern hat dies jedoch mit der Begründung abgelehnt, dass die Herausgabe der Quittungen für vier Jahre unverhältnismäßig teuer sei und der Inhalt zu heikel sei, da die Belege Informationen enthalten könnten, die teilweise den persönlichen Geheimbereich betreffen.

Entscheidung und Veröffentlichung:

«Kassensturz» hat gegen diese Entscheidung Beschwerde eingelegt. Das Verwaltungsgericht des Kantons Bern änderte jedoch seine Meinung, bevor es über den Fall entscheiden konnte, und gab die Ausgabenquittungen und Abrechnungen von 2018 bis 2021 heraus. Insgesamt 300 Seiten, einschließlich Repräsentationsausgaben.

Ausgaben und Repräsentationsausgaben der Regierungsmitglieder:

Die Unterlagen zeigen, dass insbesondere Sicherheitsdirektor Philippe Müller (FDP), Wirtschaftsdirektor Christoph Ammann (SP) und Gesundheitsdirektor Pierre Alain Schnegg (SVP) Gäste aus Wirtschaft und Politik zu Essen einladen.

Welche Politiker geben am meisten aus?

Gemäß den Recherchen von SRF Kassensturz neigen Regierungsmitglieder des Kantons Bern dazu, kleine Beträge abzurechnen oder Gäste aus der Wirtschaft und Politik zum Essen einzuladen.

Welche Politiker geben weniger aus?

Laut den Recherchen gibt es unter den Mitgliedern der Regierung des Kantons Bern Frauen, die im Vergleich zu Männern weniger für Ausgaben und Repräsentation abrechnen.

Reaktion der Regierung des Kantons Bern:

Reto Wüthrich, Pressesprecher der Berner Regierung, betont, dass alles gesetzeskonform ist: «Die abgerechneten Ausgaben sind normal und gerechtfertigt für ein Mitglied der Regierung. Das Fakturieren solcher offiziellen Ausgaben an den Staat durch Regierungsmitglieder entspricht den geltenden gesetzlichen Bestimmungen.»

Stellungnahme der betroffenen Regierungsmitglieder:

Keines der genannten Regierungsmitglieder wollte Stellung zu den Ausgabenbelegen und Repräsentationsausgaben nehmen, die von «Kassensturz» veröffentlicht wurden.

SRF Beitrag Kassensturz

Französisch: Même une banane à 20 centimes a été facturée


Révélations par le programme SRF Kassensturz : Les membres du gouvernement de l’État de Berne facturent même de petites dépenses

BERNE – Les membres du gouvernement de l’État de Berne ont tendance à facturer de petites dépenses, malgré un salaire mensuel d’environ 280 000 francs suisses, soit près de 22 000 francs suisses par an. Le directeur de la sécurité, Philippe Müller, est en poste depuis 2018 et a gagné plus de 1,3 million de francs jusqu’à présent. Il reçoit également un forfait de dépenses de 8 000 francs par an.

Détails suspects dans les frais de repas :

Ils facturent occasionnellement de petites sommes, telles que des repas pour des invités du monde économique et politique, tels qu’un pain complet biologique coûtant parfois 95 centimes (environ 1 franc) et une banane coûtant 20 centimes, au nom du canton de Berne. De plus, selon les documents, il a également facturé 3,20 francs pour un «Laugenbretzeli mit Butter» (bretzel salé au beurre), documentant cela comme des frais de collation pour ses neuf pauses.

Daniel Wyrsch, membre de l’Union du personnel de l’État de Berne et du SP, critique la facturation de telles petites sommes : «Avec un revenu brut de près de 280 000 francs par an, je trouve cela très petit et honteux. Les employés du canton ne peuvent pas facturer cela. Chacun fait sa propre recherche pour le déjeuner.» De plus, Kuno Schedler, professeur d’administration publique à l’Université de Saint-Gall, souligne que de tels petits frais sont suspects : «Le coût de traitement est déjà compris entre 25 et 30 francs. Et la question est : si quelqu’un utilise 20 centimes, qu’utilise-t-il d’autre ?» Le directeur de la sécurité, Philippe Müller, ne fait aucun commentaire sur ses dépenses.

Demande de confidentialité et résultat :

Faisant référence au principe de transparence constitutionnellement garanti dans le canton de Berne, «Kassensturz» a demandé l’accès aux documents sur les dépenses des membres du gouvernement de l’État de Berne de 2018 à 2021. Cependant, le Secrétariat du gouvernement du canton de Berne a refusé cette demande, arguant que fournir les reçus de quatre ans était disproportionné et que le contenu était très sensible : «Les reçus peuvent contenir des informations concernant partiellement la sphère de la vie privée.»

«Kassensturz» a fait appel de cette décision, mais le Tribunal administratif de Berne a changé la décision du canton et a fourni les reçus et les calculs des dépenses de 2018 à 2021 avant que le tribunal ne rende sa décision finale. Au total, 300 pages, y compris les frais de représentation.

Dépenses et frais de représentation des membres du gouvernement :

Les documents montrent que des membres du gouvernement tels que le directeur de la sécurité Philippe Müller (FDP), le directeur de l’économie Christoph Ammann (SP) et le directeur de la santé Pierre Alain Schnegg (SVP) invitent des invités du monde économique et politique à dîner.

L’invitation de Christoph Ammann avec du vin :

Lorsqu’il invite, Christoph Ammann (SP) fait couler le vin pendant le déjeuner. Alors qu’il déjeunait avec le PDG d’une société de conseil, en juillet 2021, avec un schnitzel viennois coûtant 42 francs en ville, il a également bu deux verres d’Optimo Weiss et de vin rouge. Le coût total du déjeuner avec le PDG : 141,50 francs.

Kuno Schedler vérifie une facture de restaurant avec deux schnitzels viennois pour le déjeuner :

Christoph Ammann (SP) a dépensé 30 francs en 2019 pour un châle appelé «Edenhut» et «crème Seide». Même s’il souligne que de telles dépenses font déjà partie du forfait annuel de 8 000 francs, un billet de parc Swiss Economic Forum de 20 francs a également été facturé par Ammann.

L’invitation de Pierre-Alain Schnegg :

Pierre-Alain Schnegg (SVP) se réunit pour un «business-lunch» avec deux politiciens et quelques employés du ministère de la Santé BAG. Coût total : 627 francs, y compris une bouteille de Champagne et une bouteille de Merlot. Coût pour le canton.

Quels sont les politiciens qui dépensent le plus ?

Selon la SRF, des membres du gouvernement de l’État de Berne tels que Philippe Müller (FDP) ont tendance à facturer de petites sommes ou à inviter des invités du monde économique et politique à dîner.

Quels sont les politiciens qui dépensent le moins ?

Selon la recherche, il existe des membres du gouvernement de l’État qui facturent moins de dépenses et de frais de représentation que les hommes.

Que dit le gouvernement de l’État de Berne ?

Reto Wüthrich, responsable de la communication du gouvernement de l’État de Berne, affirme que tout est légal : «Les dépenses facturées sont des dépenses normales et justifiées dans le cadre d’une appartenance au gouvernement de l’État. La facturation de ces dépenses officielles par les membres du gouvernement à l’État est conforme à la législation en vigueur.»

Que disent les membres du gouvernement discutés ?

Aucun des membres du gouvernement de l’État n’a souhaité commenter les documents de dépenses et les frais de représentation divulgués par «Kassensturz.»

Italienisch: Anche una banana da 20 centesimi è stata fatturata

Rivelazioni di SRF Kassensturz: I membri del governo dello stato di Berna fatturano spese minime dubbie

BERNA – Anche se i membri del governo dello stato di Berna ricevono uno stipendio mensile di quasi 280.000 franchi svizzeri, cioè circa 22.000 franchi svizzeri all’anno, il programma SRF Kassensturz ha rivelato che hanno la tendenza a fatturare somme minime. Il direttore della sicurezza, Philippe Müller, in carica dal 2018, ha guadagnato oltre 1,3 milioni di franchi svizzeri finora. Beneficia anche di un pacchetto spese di 8.000 franchi svizzeri all’anno.

Dettagli sospetti sulle spese alimentari:

Partecipando a conferenze, ospitando ospiti dal mondo dell’economia e della politica e talvolta fatturando piccole somme come un pane integrale biologico che costa circa 95 centesimi (circa 1 franco) e una banana che costa 20 centesimi a nome del Canton Berna come «spese alimentari». Inoltre, secondo i documenti, hanno fatturato anche 3,20 franchi per un «Laugenbretzeli mit Butter» (Bretzel al burro), che hanno documentato come spese per uno spuntino durante nove pause.

Daniel Wyrsch, membro dell’Associazione del personale dello stato di Berna e membro del partito socialista, critica la fatturazione di queste piccole somme: «Trovo questo molto piccolo e imbarazzante con un reddito lordo vicino a 280.000 franchi all’anno. I dipendenti del cantone non possono fatturare questo. Ognuno dovrebbe pagare il proprio pranzo.» Inoltre, Kuno Schedler, professore di amministrazione pubblica all’Università di San Gallo, sottolinea che tali piccole spese sono sospette: «Il costo di elaborazione è già tra i 25 e i 30 franchi. E la domanda è: se qualcuno usa 20 centesimi, cosa sta usando ancora?» Il direttore della sicurezza, Philippe Müller, non commenta le sue spese.

Richiesta di riservatezza e risultati:

Richiamando il principio di trasparenza garantito costituzionalmente nel Canton Berna, il programma «Kassensturz» ha chiesto l’accesso ai documenti sulle spese dei membri del governo dello stato di Berna dal 2018 al 2021. Tuttavia, la Segreteria del governo del Canton Berna ha respinto questa richiesta, sostenendo che fornire ricevute per quattro anni sarebbe stato sproporzionato e che il contenuto era molto delicato: «Le ricevute possono contenere informazioni che riguardano in parte la sfera della vita privata.»

«Kassensturz» ha contestato questa decisione, ma l’amministrazione cantonale di Berna ha cambiato la decisione prima che fosse noto l’esito della causa, fornendo le ricevute e i calcoli delle spese dal 2018 al 2021. In totale, 300 pagine, comprese le spese di rappresentanza.

Spese e spese di rappresentanza dei membri del governo:

I documenti mostrano che alcuni membri del governo, in particolare il direttore della sicurezza Philippe Müller (FDP), il direttore dell’economia Christoph Ammann (SP) e il direttore della sanità Pierre Alain Schnegg (SVP), invitano ospiti dal mondo dell’economia e della politica a cena.

L’invito di Christoph Ammann con del vino:

Quando invita, Christoph Ammann (SP) offre del vino durante il pranzo. Il suo ospite è il CEO di una società di consulenza e nel luglio 2021 hanno condiviso una schnitzel viennese che costa 42 franchi in città, con due bicchieri di «Optimo Weiss» e vino rosso. Costo totale del pranzo con il CEO: 141,50 franchi.

Kuno Schedler controlla la fattura di un pranzo con due schnitzel viennesi:

Christoph Ammann (SP) ha anche pagato 30 franchi nel 2019 per una sciarpa chiamata «Edenhut» e «crème Seide». Anche se tali spese fanno già parte del pacchetto annuale di 8.000 franchi, Ammann ha anche fatturato un biglietto per il Swiss Economic Forum di 20 franchi.

L’invito di Pierre-Alain Schnegg:

Pierre-Alain Schnegg (SVP) organizza un «Business-Lunch» con due politici e alcuni dipendenti dell’Ufficio federale della sanità pubblica (BAG). Costo totale: 627 franchi, con una bottiglia di Champagne e una bottiglia di Merlot incluse. Costo per il cantone.

Quali politici spendono di più?

Secondo la SRF, membri del governo dello stato di Berna come Philippe Müller (FDP) tendono a fatturare piccole somme o ad invitare ospiti dal mondo dell’economia e della politica a cena.

Quali politici spendono meno?

Secondo la ricerca, ci sono membri del governo dello stato che fatturano meno spese e spese di rappresentanza rispetto agli uomini.

Cosa dice il governo dello stato di Berna?

Reto Wüthrich, responsabile della comunicazione del governo dello stato di Berna, afferma che tutto è legale: «Le spese fatturate sono considerate normali e giustificate nell’ambito di un incarico governativo dello stato. La fatturazione di queste spese ufficiali da parte dei membri del governo allo stato è conforme alla legislazione vigente.»

Cosa dicono i membri controversi del governo?

Nessun membro del governo dello stato menzionato ha voluto commentare i documenti di spesa e le spese di rappresentanza presentati da «Kassensturz»

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EPFL stellt „MiBMI“ vor: Miniatur-Chips zur Erkennung von Buchstaben im Gehirn

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Forscher der Eidgenössischen Technischen Hochschule Lausanne (EPFL) haben mit „MiBMI“ eine bahnbrechende Gehirn-Maschine-Schnittstelle entwickelt, die speziell für Patienten mit motorischen Beeinträchtigungen konzipiert wurde. Dieses innovative System, das aus zwei winzigen Chips besteht und insgesamt nur acht Quadratmillimeter groß ist, verarbeitet die elektrischen Signale des Gehirns direkt, im Gegensatz zu Elon Musks NeuraLink, das die Daten an externe Computer sendet. Laut EPFL verbraucht MiBMI deutlich weniger Strom und ist damit effizienter.

Überragende Trefferquote bei Simulationen

MiBMI ist in der Lage, die Gehirnaktivität zu lesen und diese in Echtzeit in Text auf einem Bildschirm zu übersetzen. Sobald der Nutzer an einen Buchstaben denkt, erkennt das System die entsprechenden neuronalen Signale und stellt diese als Text dar. Die bisherige Trefferquote des Systems liegt bei beeindruckenden 91 Prozent. Es kann derzeit 31 verschiedene Zeichen entschlüsseln – eine Leistung, die bisher von keinem anderen integrierten System erreicht wurde. Forscher planen, diese Zahl auf 100 Zeichen zu erweitern, auch wenn das System bisher noch nicht an Menschen getestet wurde.

Effizient, präzise und energiesparend

„MiBMI ermöglicht es uns, komplexe neuronale Aktivitäten mit hoher Präzision und geringem Energieverbrauch in lesbare Texte umzuwandeln“, erklärt Mahsa Shoaran, Leiterin des Neurotechnologie-Labors der EPFL. Dies könnte Menschen mit schweren motorischen Beeinträchtigungen erhebliche Vorteile bieten und deren Kommunikationsfähigkeiten verbessern.

Innovative Datenverarbeitung für weniger Energieverbrauch

Ein Durchbruch der MiBMI-Technologie liegt in der Art und Weise, wie sie Daten verarbeitet. Statt Tausende von Bytes an Informationen für jeden Buchstaben zu analysieren, konzentriert sich das System nur auf distinktive neuronale Codes (DNCs), die spezifisch für jeden Buchstaben sind. Diese Codes sind etwa 100 Bytes groß, wodurch der Chip schneller und energiesparender arbeitet. Diese Effizienz ermöglicht eine kürzere Einarbeitungszeit und macht das System für Patienten leichter zugänglich.

MiBMI könnte somit ein entscheidender Schritt in Richtung implantierbarer Lösungen sein, die die Lebensqualität von Menschen mit motorischen Einschränkungen nachhaltig verbessern.

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Krankenkasse: Ein Drittel der Schweizer Bevölkerung plant Wechsel bis 2025

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Die Schweizer Gesundheitsversorgung steht vor großen Veränderungen. Laut einer aktuellen Umfrage plant ein Drittel der Schweizer Bevölkerung, bis 2025 die Krankenkasse zu wechseln. Gleichzeitig gewinnt die Idee einer Einheitskasse zunehmend an Unterstützung.

Wechselbereitschaft aufgrund hoher Prämien

Im Jahr 2024 haben bereits 17 % der Versicherten in der Schweiz ihre Krankenkasse gewechselt. Dieser Anteil ist im Vergleich zum Vorjahr, als 19 % der Bevölkerung den Anbieter wechselte, gesenkt. Der Hauptgrund für den Wechsel ist die signifikante Prämienerhöhung, die 2024 im Durchschnitt um 8,7 % gestiegen ist. Der höchste Wechselanteil wurde in der Westschweiz verzeichnet, wo 20 % der Versicherten die Krankenkasse gewechselt haben. In der Deutschschweiz lag der Anteil bei 16 %, und im Tessin, das besonders stark von der Prämienerhöhung betroffen war, wechselten nur 12 % der Versicherten.

Die meisten Menschen, die ihre Krankenkasse gewechselt haben, taten dies vor allem, um Kosten zu sparen. Etwa 83 % der Anfragen für neue Angebote basieren auf dem Wunsch, bei den Prämien zu sparen. Nur 5 % der Wechselmotivationen beruhen auf Unzufriedenheit mit dem aktuellen Anbieter.

Zukunftsausblick: Wechsel bis 2025

Eine Umfrage von bonus.ch, die im Mai 2024 durchgeführt wurde, zeigt, dass 32 % der Befragten planen, ihre Krankenkasse bis 2025 zu wechseln. Dies steht im Zusammenhang mit den erwarteten weiteren Prämienerhöhungen, die zwischen 5 % und 7 % liegen könnten. Die Bereitschaft zum Wechsel variiert jedoch stark je nach Region. In der Westschweiz planen 40 % und in der italienischen Schweiz 39 % einen Wechsel. In der Deutschschweiz sind es nur 23 %.

Altersabhängige Wechselabsichten

Die Absicht, die Krankenkasse zu wechseln, variiert auch nach Altersgruppen. Während 72 % der über 60-Jährigen planen, bei ihrer aktuellen Krankenkasse zu bleiben, sinkt dieser Anteil bei den unter 31-Jährigen auf 53 %. Dies deutet darauf hin, dass ältere Versicherte tendenziell weniger geneigt sind, ihre Versicherung bei steigenden Prämien zu wechseln.

Einheitskasse gewinnt an Unterstützung

Das Konzept einer Einheitskasse, das in der Vergangenheit abgelehnt wurde, gewinnt zunehmend an Zuspruch. Eine Umfrage von bonus.ch zeigt, dass 76 % der Schweizer Bevölkerung eine Einheitskasse unterstützen, besonders im Kontext stark steigender Prämien. Dies ist ein Anstieg von 64 % im Jahr 2017 auf 76 % im Jahr 2024. Während 16 % der Befragten eine Einheitskasse befürworten, auch wenn diese nicht zu einer Senkung der Prämien führt, befürworten 38 % die Einführung einer Einheitskasse, wenn sie eine Reduzierung der Prämien um mindestens 20 % erwarten können.

Regionale Unterschiede zeigen sich auch bei der Unterstützung für eine Einheitskasse. In der italienischsprachigen Schweiz befürworten 52 % eine Einheitskasse unter der Bedingung einer 20 %-igen Prämienreduktion, während in der Deutsch- und Westschweiz nur 35 % dies unterstützen.

Zufriedenheit mit Krankenkassen

Die allgemeine Zufriedenheit mit den Krankenkassen in der Schweiz hat sich 2024 leicht verbessert. Der Gesamtnotendurchschnitt beträgt 5,08 von 6 Punkten. Die höchste Zufriedenheit wird in der Deutschschweiz gemessen, wo 81 % der Versicherten ihre Krankenkasse mit «gut» oder «sehr gut» bewerten. Die Westschweiz folgt mit 72 % und die italienische Schweiz mit 50 %.

Bestbewertete Krankenkassen 2024

Laut der Umfrage stehen SWICA und Sympany an der Spitze des Rankings mit einer Bewertung von 5,3 von 6 Punkten. Sie werden dicht gefolgt von Atupri, Concordia, Helsana, OEKK, Sanitas und Visana, die eine Bewertung von 5,2 erhalten haben. Aquilana, CSS, Groupe Mutuel und KPT runden das Podium mit einer Bewertung von 5,1 ab.

Für detaillierte Informationen zur Zufriedenheitsumfrage, den Noten der Krankenkassen und einem Prämienvergleich besuchen Sie die folgenden Links:

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Glanzlichter der Schweizer Krypto-Szene: Die Swiss Crypto Awards 2024

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Die gestrige Finance 2.0 Konferenz, bekannt als «Crypto Assets 24», krönte sich mit der feierlichen Verleihung der Swiss Crypto Awards 2024 zu einem Höhepunkt der Schweizer Krypto-Industrie. Diese renommierten Auszeichnungen, bereits zum zweiten Mal vergeben, würdigen Spitzenleistungen und Innovationen in der digitalen Vermögens- und Kryptoindustrie der Schweiz.

Eine Jury aus angesehenen Experten wie Tina Balzli, Marc Degen, Dr. Daniel Diemers, Dr. Adriano Lucatelli, Prof. Dr. George Grivas, Mathias Ruch und Dr. Lidia Bolla traf ihre Entscheidungen nach einem sorgfältigen Auswahlprozess.

Die Swiss Crypto Awards wurden ins Leben gerufen, um herausragende Leistungen in der Schweizer Krypto- und Blockchain-Branche zu ehren und das Vertrauen sowie die Anerkennung in der traditionellen Finanzwelt sowie im Bereich digitaler Vermögenswerte zu stärken. Initiator Rino Borini betonte die Bedeutung der Awards als Symbol für wachsendes Vertrauen und Zusammenarbeit in der Schweizer Finanz- und Kryptoszene.

Übersicht über die Auszeichnungen:

Bestes Crypto-/Digital Assets-Angebot: Postfinance
Postfinance, die größte Retailbank der Schweiz und erste systemrelevante Bank, erhielt die Auszeichnung für ihr erfolgreiches Integrationsmodell von Krypto-Assets für 2,5 Millionen Kunden. Die nahtlose Einbindung in das E-Banking unterstreicht ihre Innovationskraft.

Bestes Crypto-Investmentprodukt: CV VC
CV VC wurde für sein Asset Management Produkt (AMC) ausgezeichnet, das zu den ersten seiner Art zählt und in blockchain-basierte Anwendungen investiert. CV VC bietet eine Plattform, die Innovation und Investitionsmöglichkeiten in der Blockchain-Welt vereint, mit einer klaren Struktur und internationalem Fokus.

Bestes Crypto-Startup: Relai
Relai wurde für die Vereinfachung des Bitcoin-Zugangs über ihre benutzerfreundliche App und ihre Partnerschaft mit Swissquote ausgezeichnet, die das Potenzial Schweizer Krypto-Startups unterstreicht.

Crypto Shaper 2024: Mathias Imbach, CEO Sygnum
Mathias Imbach wurde für seine Rolle als Mitbegründer von Sygnum und seine Führungsrolle in der Entwicklung der Kryptobank ausgezeichnet, die wesentlich zur Stärkung der Schweizer Blockchain-Nation beigetragen hat.

Jury-Exzellenz: Swiss Blockchain Federation
Die Swiss Blockchain Federation erhielt eine Sonderauszeichnung für ihre langjährige Förderung des Blockchain-Standorts Schweiz und ihre bedeutenden Beiträge zur Regulierung und Standardisierung der Branche.

Mitglieder der Swiss Crypto Awards Jury:

  • Tina Balzli – Partnerin, Rechtsanwältin, Head of Fintech & Blockchain, CMS Schweiz
  • Marc Degen – Mitbegründer & Vorsitzender Trust Square
  • Daniel Diemers – Mitbegründer bei SNGLR Group
  • George Grivas – Professor für Digital Business und Innovation an der Hochschule Luzern
  • Lidia Bolla – Mitbegründerin von vision&
  • Adriano Lucatelli – Gründer & CEO bei Descartes Finance
  • Mathias Ruch – Gründer & CEO CV VC / CV Labs | Web3 & Blockchain | Unternehmer & Investor

Die Swiss Crypto Awards 2024 zeugen von der dynamischen Entwicklung der Schweiz als führendem Standort für Innovationen in der digitalen Vermögens- und Blockchain-Technologie.

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